• Checed חֶסֶד grâce

     

     

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    Ce terme « checed » est utilisé 248 fois dans le tanakh * .

    Ses diverses traductions sont :grâce, miséricorde, bienveillance, bonté, amour, attachement, faveur, affection, piété, compassion, …

    Dans presque tous les cas, il est utilisé en relation avec YHVH Adonaï.

     

    * appelé de façon malencontreuse « ancien testament », comme si ce qui y était écrit était remplacé par un « nouveau testament », ce qui bien sûr n’est pas le cas.

     

    D’autres termes hébreux sont utilisé pour rendre la même idée de bonté, de miséricorde, bien que d’un usage moins fréquent, comme rachuwm רַחוּם ou racham רָחַם.

     

    Dans les textes plus récents, témoignages de Yeshoua Ha Maschia, c’est le terme grec charis χάρη qui est utilisé. Il veut dire « grâce ».

    C’est l’apôtre Paul qui l’utilise le plus souvent (dans l’épitre aux romains).

    Il salue et conclut ses épitres en disant comme ici: « que la grâce de l’adon (seigneur) Yeshoua soit avec vous. » I Corinthiens 16:23

     

    La conclusion est simple.

     

    Que ce soit dans les premiers écrits inspirés par Elohim (AT), ou dans les plus récents inspirés aussi par Elohim (NT), la grâce est toujours présente.

    Dans le tanakh, la loi et la grâce font bon ménage. Aucune contradiction entre ces deux pôles. Ils ne sont pas antagonistes, en aucun cas.

     

    Et dans les écrits qui rendent témoignages de la nouvelle alliance dans le sang de Yeshoua, il est aussi écrit en Apocalypse 22:14

    « Heureux ceux qui font ses commandements, afin d'avoir droit à l'arbre de vie et d'entrer par les portes dans la ville. » version Ostervald 1877

    « Bienheureux sont ceux qui font ses commandements, afin qu'ils aient droit à l'Arbre de vie, et qu'ils entrent par les portes dans la Cité. » version Martin 1744

    Ce sont là des traductions fidèles * et honnêtes*. Les commandements (la loi) font aussi bon ménage avec la grâce : l’accès à l’Arbre de vie ».

    Dans ces écrits, la loi et la grâce restent indissociables, comme dans les écrits qui précédèrent la venue du Messie.

    Important : l’accès à l’arbre de vie (le droit à la vie éternelle) a été, est et sera conditionné à « faire ses commandements ».



    * Certaines traductions ne sont pas honnêtes et fidèles comme, entre autres, la traduction Segond 1910 :« Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d'avoir droit à l'arbre de vie, et d'entrer par les portes dans la ville ! ». Le sens est différent et la loi, les commandements sont évacués.

     

     

     

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