• Ne craignez pas...

    mais craignez...

     

    6ème partie

     

     

     

    Sommaire de cette série d'articles: Ne craignez pas ... mais craignez.

    Sommaire

     


     

     

    « Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne. » Matthieu 10.24


     




    Ce qui ne veut pas dire qu’il faut se taire et ne pas chercher à comprendre autant que faire se peut ce qui se passe sans recourir aux des médias dits « complotistes », divisés et sources comme tout média de mensonge. A titre personnel, j’entends trop de choses ici et là, et ai le besoin de rechercher des infos « à la source ».

    La question cruciale du moment est cette fameuse « prévention génique » qui est inoculée et dont l’état d’Israël détient le record. On a donc une prévention à ARNm (messager). La science dans ses expérimentations génétiques atteint le niveau le plus fondamental du fonctionnement du corps humain: le code qui permet à l’homme d’être ce qu’il est, son identité physique telle que notre Créateur l’a voulu. Lorsqu’on touche, par la science, à ce domaine, on interfère certainement avec le Créateur et avec la possibilité de « faire périr » le corps ou tout le moins de « transformer » la création. C’est bien pour cela que malgré moi, je fus porté à m’y intéresser.

    Bien sur, les médicaments traditionnels avaient vocation d’interférer dans le domaine des diverses productions organiques (immunitaires, enzymatiques, hormonales, neurotransmetteurs, etc…), mais pas au niveau du codage fondamental de notre identité physique.

    Pour aborder ce sujet, il est nécessaire d’avoir d’abord un minimum d’informations de base pour savoir de quoi il retourne.

    La thérapie génique n’en est est pas tout à fait à ses débuts. Des recherches fondamentales et des essais sur des volontaires atteints gravement, ont été effectuées en ce XXIème siècle sans succès durable pour ces patients. Globalement, la réaction de la communauté scientifique est réservée: on n’en est qu’aux balbutiements.

     

    Ici un article de Wikipédia qui décrit le processus de recherche et d'applications, pendant ces vingt dernières années et, si on élude le contenu technique que seuls des spécialistes sont aptes à comprendre, les résultats sont très mitigés: on comprend que quelques maladies ont pu être freinées mais pas de façon durable:

    Lien ici Thérapie génique

    D’autres avis vont dans le même sens, c’est-à-dire réservés.

    Louvain Médical: Thérapie génique: état des lieux et perspectives.
     

    Revue médicale suisse: Quel avenir pour la thérapie génique ? 2018


    Seul l’Inserm (France) est plus enthousiaste, très « cocorico » (sans donner de résultat des thérapies), soulignant leur prix prohibitif, jusqu’à 1 million d’euros pour un traitement.

    Thérapie génique. Une recherche de longue haleine qui porte ses fruits

    Deux de ces articles datent de 2017… A-t-on vraiment fait des progrès significatifs depuis ? Rien ne l’indique et pourtant voici qu’on lance à grande échelle une prévention génique malgré les incertitudes et les risques mentionnés dans ces articles. De la prudence du monde scientifique, on passe soudain à une application de masse.

    Dans la suite, nous nous concentrerons et examinerons de près une seule de ces préventions géniques, celle de Pfizer à partir d'un document de "première main" pour savoir de quoi il retourne.

     


    A suivre

     

     

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