Torah et vaccins

« Ouvre mes yeux,

pour que je contemple les merveilles de ta loi ! »

Ps 119.18


 

 Note: il sera nécessaire de reprendre cet article pour préciser des éléments comme l'usage du fœtus humain (vaccin Johnson et Johnson par exemple) comme substrat chez au moins deux fabricants de ces produits non pas à ARNm mais à ADN modifié.

La réflexion qui va suivre n’est que cela:  - une réflexion - , à partir d’un article paru sur le site « Bible et sciences » mettant en relation un texte de lévitique 19, verset 19 avec les vaccins.

En termes biologiques et génétiques l’article est complexe. Tentons d’y voir plus clair.

Évaluation théologique des vaccins à la lumière de Lévitique 19

 

« Tu n’accoupleras point des bestiaux de deux espèces différentes ; tu n’ensemenceras point ton champ de deux espèces de semences… ». Lv 19.19

Ces mélanges génétiques inter-espèces en vue de la reproduction sont condamnés. On le comprend aisément pour les animaux (bardots, mulets, ligres et tigrons, par exemple).

 
Pour les plantes, en fait, c’est la même chose. Chez les graminées, leur système reproductif passe la la pollinisation. Si donc une plante émet son pollen sur les étamines d’une autre plante femelle de la même espèce, la reproduction peut s’effectuer.
Les croisements entre espèces existent accidentellement dans la nature. L’homme a exploité systématiquement ce genre de manipulations pour créer des espèces nouvelles.

Or le texte du lévitique interdit ces croisements, ces mélanges qui sont nommés כִּלְאַ֔יִם, kil·’a·yim. A chacun de se déterminer maintenant sur sa position par rapport à sa consommation de brugnon, de nectarine, d’agrumes croisé ou autres. Je ne connais pas l’extension qu’a prise tout ces croisements en ce qui concerne l’alimentation humaine.


 

Pour les animaux et les plantes, nous avons affaire à une dimension purement génétique. Pour ce qui est des vaccins d’autrefois - excluons pour le moment la prévention génique actuelle -, c’est un peu différent: nous avons affaire à l’introduction de cellules et de virus étrangers dans l’organisme humain. En gros, on introduit des cellules et virus "atténués" d’une espèce à l’autre.

Explication: les vaccins traditionnels sont développés sur des tissus animaux comme le poulet, le porc, le hamster ou le singe (animaux impurs pour ces trois derniers). Le support du vaccin est un virus présent dans ces cellules animales.

Quel est le problème ?
 

On sait, preuves à l’appui, que le passage du virus d’une espèce à l’autre n’est pas sans danger pour l’espèce réceptrice. Ainsi le virus peut être bénin dans une une espèce mais pas dans l’autre.
 

L’article en lien émet l’hypothèse sur des bases statistiques que c’est ainsi que le virus du sida serait né (VIH). Il ne donne pas de preuves autres que celles-ci. Tout reste ici au conditionnel.

Autrefois les vaccins, pour une espèce de virus pathogène pour l’homme, étaient testés de manière approfondie. Cela pouvait prendre de nombreuses années avant la commercialisation pour limiter les effets secondaires qui existaient quand même mais restaient limités.

Aujourd’hui, la prévention génique proposée utilise un adénovirus provenant d'un singe pour plusieurs produits. Et ce support étranger accompagné de l’ARNm n’a pas du tout été testé, en aucune manière. Voir cet article:

Ne craignez pas… mais craignez - 7ème partie


 

En termes médicaux, cela revient au minimum à jouer les apprentis sorciers en le testant sur les populations. En fait, à l'avenir les "vaccins" pourraient tout aussi bien (notez bien ici le conditionnel, svp) s’avérer criminel.

En termes bibliques:

- Lorsqu’une personne est (ou a été) vaccinée, elle reçoit des cellules étrangères, souvent provenant du singe (complément: et aussi de foetus humain: Johnson et Johnson). Des cellules d’un animal impur sont introduites directement dans notre sang. Mettez cela en relation avec le texte de lévitique 11 au sujet des prescriptions alimentaires concernant les animaux purs ou impurs.

Avec les vaccins, vous ne mangez pas du "singe": on l'introduit directement dans votre sang.

- La prévention génique actuelle procède sur les mêmes bases (cellules et virus du singe)… avec en plus une manipulation génétique avérée.

- Et lévitique 19.19 interdit ces mélanges d'espèces au niveau reproductif, c'est-à-dire génétique.

Que ce soit donc au niveau reproductif, donc génétique, ou en introduisant une information génétique dans le sang via le "vaccin", ne pourrait-on pas comprendre que l'on parle de la même chose ?

La conclusion sera la vôtre.