• Quand l'imposition des mains...

    2ème partie

     

     

     

     

    D'autres articles ont été rédigés dans la même ligne que celui-ci. Ils présentent, au travers de situations différentes, traitées dans la loi d’Élohim, divers enseignements que l'on peut en retirer.

    Quand on oublie les bienfaits de la torah !

    Quand la loi d’Élohim nous arrange !

    Quand la loi d'Elohim nous dérange !

    Quand on ne comprend pas la loi d'Elohim !

    Quand l'imposition des mains... - 1ère partie

    Quand l'imposition des mains... - 2ème partie - L'article ci-dessous

    Quand j'en viens à m'examiner moi-même - 1ère partie

    Quand la loi d'Elohim nous arrange (supplément) !

    Quand j'en viens à m'examiner moi-même - 2ème partie

     

     


     

    Le titre complet de cet article serait:
     

    « Quand l’imposition des mains m’a été donnée par un ouvrier qui ne croyait pas en la plénitude des Ecritures, la torah y comprise ? … et qui par conséquent ne pouvait y obéir. »
     


     

     

    Voyons des situations dans lesquelles certains n’ont pas manqué de se trouver ou ne manqueront pas de se trouver.
     

    Reconnaître les mauvais ouvriers - faux prophètes et faux envoyés.
     

    On m’a imposé les mains pour que je reçoive le Saint-Esprit ? Dira-t-on  ! Si comme le dit Paul aux Corinthiens (2 Corinthiens 11.4), on peut recevoir un autre esprit, qu’en est-il donc ?
    Cette question est très sérieuse et il ne convient pas de la traiter à la légère.


    Sans entrer encore dans quelques détails, partons du principe que nous recevons le même esprit que celui qui vous impose les mains. J’écris bien ici en insistant et pose ce principe que l’esprit qui anime l’ouvrier est celui nous est transmis.
     

    Retrouvons ces paroles de Yéshoua au sujet des prophètes:
     

    « Vous les (les prophètes) reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ?
    Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits.
    Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. » Matthieu 7.16 à 18

    Il est donc abordé d’abord la question des fruits de ces mauvais ouvriers.

    Pouvons-nous examiner leurs fruits ? De nos jours, la plupart du temps, nous ne le pouvons pas. Ils sont fréquemment des hôtes de passage. Donc impossible de connaître leur fruits, sauf quand un scandale éclate publiquement à leurs sujets ou qu’ils virent visiblement vers un autre évangile, celui de la prospérité par exemple. Notre seigneur les juge et Il a déjà commencé.

    Qu’en est-il aussi de ces « ouvriers » qui imposent les mains en série, « à la louche » si l’on peut dire, sans prendre le temps discerner la disposition de cœur de celui qui reçoit l’imposition ? Tout le contraire de ce que Paul recommande à Timothée de ne pas imposer les mains à la hâte, avec précipitation. Ces êtres sont fascinés par la puissance et on se demande s’ils ne lisent dans la bible que les actes des apôtres (très mal en plus).

    Sans aucun doute tout cela existe et nous passons tous les autre cas de figure.

    Ces hommes sont en désobéissance flagrante à la Parole et ils ont imposé les mains sur de nombreuses personnes.
    Sans jugement, ceux qui ont reçu ce « traitement » ne peuvent en aucun cas faire mieux que leur maître. De plus nous avons à considérer les enseignements de ces hommes, quand il en existe un, car on les entend surtout d’expériences spectaculaires qui nous sont données en pâture… pour faire envie. Fréquemment le message de la Parole est absent ou vidé de tout sens profond.

     

    Résumons:

     
    - Certains ont reçus une puissance d’égarement… comme le dit Paul.


    - D’autres ont reçu l’esprit frelaté d’un devin qui se fait passer pour un prophète.


    - D’autres encore qui annonce un autre évangile, sont animés d’autres esprits encore.


    - Etc…

    Vous ne serez donc jamais plus ni moins que celui qui vous a transmis « quelque chose » et vous a enseigné (ou non).


     


     

     

    Les meilleurs cas de figure proviennent d’hommes qui sont profondément enracinés dans la Parole. Des ouvriers, qui ne le savent même pas, ont lu entre les lignes des faux enseignements reçus à l’encontre de la torah et qui se sont forgés un caractère de justes. En effet toutes les Ecritures parlent de la torah et, à leur contact, on ne peut en ressortir que béni. Alors le niveau de soumission que l’on a eu à cette Parole n’a pu que changer les cœurs si crue et obéie.

    Souhaitons que ce fut notre cas !


     

    Quoiqu'il en soit, pour ceux qui veulent aimer le Père de tout leur cœur, et suivre les pas de Son Fils bien-aimé, l'espoir demeure. Il n'est pas de situation sans espoir.

     




    Le prochain articles parlera des fruits, non pas des ouvriers « professionnels » qui nous ont enseignés et/ou imposés les mains, mais de celles et ceux qui ont reçu ces enseignements  et des impositions des mains…

    « Quand j’en viens à m’examiner moi-même en regard de toutes les Ecritures, sans oublier la torah. »

     

     

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