• Quand j'en viens

    à m'examiner moi-même

    2ème partie

     

     

     

    D'autres articles ont été rédigés dans la même ligne que celui-ci. Ils présentent, au travers de situations différentes, traitées dans la loi d’Élohim, divers enseignements que l'on peut en retirer. 

    Quand on oublie les bienfaits de la torah !

    Quand la loi d’Élohim nous arrange !

    Quand la loi d'Elohim nous arrange (supplément) !

    Quand la loi d'Elohim nous dérange !

    Quand on ne comprend pas la loi d’Élohim !

    Quand l'imposition des mains... - 1ère partie

    Quand l'imposition des mains... - 2ème partie

    Quand j'en viens à m'examiner moi-même - 1ère partie

    Quand j'en viens à m'examiner moi-même - 2ème partie - ce dernier article.

     

     


     

    Nous avons vu dans l’article précédent que la bénédiction découlait de la présence au-dedans de nous, dans nos coeurs de la loi-torah, sans oublier la totalité des 10 Paroles (commandements), y compris la pratique « intelligente » du shabbat. Par « intelligente », nous entendons ici en accord avec la torah exclusivement et non en regard de traditions pesantes ajoutées par les hommes.

     


     

     

    Comment marcher avec Elohim, par Yéshoua ? Cette marche est conditionnelle, comme nous le verrons, liée à notre volonté d’être saint comme il est saint.

    « … soyez saints, car je suis saint, moi, יְהוה, votre Dieu. » Lévitique 19.2

    « Mais, puisque celui qui vous a appelés est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite… » 1 Pierre 1.15

    Le premier critère consiste à examiner nos fruits.

    Examinons nous nous-mêmes en regard de toute la parole sans s’accuser outre mesure comme certains d’entre nous qui s’accablent déjà bien assez; cela viendrait de l’accusateur, l’ennemi des âmes et non celle de notre Père.

    C’est à cause de sa miséricorde que notre Seigneur nous avertit.
    Et c’est à chacun de le faire un pas après l’autre. Voici quelques pistes.

     

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    Cette liste peut paraître accablante. Encore une fois, si le cas au point de devenir paralysant, ce n’est pas l’œuvre du Souffle Saint en nous, mais de l’ennemi.
    La Parole ne fait que nous donner des repères.

     

    Il existe en fin de compte deux notions à retenir:

    1 - « Ceux qui sont Messie Yéshoua ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs. » Galates 5.24. Acceptons-nous cela !

    2 - Si nous l’acceptons, nous ne nous retrouvons pas dépourvus. Il tiendra Sa promesse citée plus haut: « je mettrai ma loi (torah dans le texte hébreu) au dedans d’eux, je l’écrirai dans leur cœur ; et je serai leur Elohim, et ils seront mon peuple. » Jérémie 31.33

     

    Et cela s’appellera: « marcher selon le Souffle (esprit) » Galates 5.25

    Car tout ce que les apôtres et envoyés ont dit pour distinguer le mal et le bien, se trouve déjà dans la loi-torah et dans les prophètes. Ils n'ont rien inventés.

    « Ta Parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier. » Psaume 119.105. Lorsque David écrivait ces paroles, il n’avait guère plus que la torah (= les cinq livres du Pentateuque) pour le guider.

    Voici ce que dit Paul en regard des anciens textes de la bible, d’avant la venue du Mashiah:
     

    « Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles. » 1 Corinthiens 10.11. Le chapitre 10, versets 1 à 11, de 1 Corinthiens mérite d’être lu. On y découvre d’où Paul tenait son enseignement concernant les fruits de la chair en Galates 5.19 à 25.

    La lecture de la Parole écrite éclaire.
     

    Son Souffle nous conduit: « le consolateur, l’Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. » Jean 14.26

    Puissions.nous entrer dans cette démarche de promesse de la part de Celui qui est fidèle, de don de soi à notre Elohim et de nouveauté de vie.

     

     



     

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